Quatre vidéos de Jean-Louis Debiée.
Décollage en Swift motorisé
https://youtu.be/XanxcJx01mo
Le Chevalet vu du ciel
https://youtu.be/GvYUajnTZa0
Décollage en Swift remorqué
https://youtu.be/m9sXGwqa08o
Décollage en Archaeopteryx motorisé
https://youtu.be/DDER8yT636I
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La prise de décision avec l'aide de multiples modèles météorologiques. |
Point météo vers 10h.
La situation est un peu particulière pour cette première "training task" officielle. Les conditions météo (fort vent du nord dans les basses couches, ascendances faibles avec des plafonds bas) font que la manche d'aujourd'hui est annulée.
Comité des pilotes (task committee)
Jacques Bott
Manfred Ruhmer
Patrick Chopard
Comité sécurité (safety committee)
Philippe Harignordoquy
Pascal Lanser
Philippe Bernard
Le dispositif d'envol électrique.
Depuis quelques années, certains aéronefs de la classe 2 qui, rappelons-le, peuvent prendre leur envol à pied, peuvent décoller de manière autonome sans être remorqués à l'aide de dispositifs d'envol électrique. Ces dispositifs peuvent être utilisés sur les Archaeopteryx comme sur les Swiftlights. Les batteries pèsent 15 kg et le moteur 7 kg.
Ils permettent se s'affranchir de la logistique lourde du remorquage.
Il est bien évident qu'en compétition, le moteur ne sert qu'à l'envol. À savoir d'ailleurs que l'autonomie de ces dispositifs d'envol est très réduite et ne permet pas de longs vols au moteur.
Un système de traçage de la présence du moteur est donc nécessaire. Différents tests ont abouti à un système fiable qui a été présenté aux pilotes hier par Pascal Lanser. C'est sur la base de ces données que le scoreur validera la manche.
Lors de ces championnats du monde, environ 2/3 des pilotes utilisent le dispositif d'envol électrique.
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Patrick Chopard, un adepte du dispositif d'envol électrique. |
Fin de journée avec un repas musical à l'aérodrome de Serre.